04/04/2013

Derniers échos des inscriptions sur les listes électorales

 

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Echos des campagnes de sensibilisation des personnes handicapées à s’inscrire sur les listes électorales.

            Le CJARC était dans la caravane

            Dans le cadre des campagnes de sensibilisation   des personnes handicapées à s’inscrire sur les listes électorales, le club des jeunes aveugles réhabilités du Cameroun a effectué un véritable rallye dans les rues de l’arrondissement de Yaoundé IV en fin du mois de février. Le 29, une campagne motorisée a permis de toucher des centaines de personnes. Distribution des flyers, des prospectus et diffusions des messages sonores. Le lendemain, c’est au siège de cette structure au lieu-dit ‘‘chambre froide’’ que se sont retrouvées  les personnes handicapées désireuses de participer au processus électoral. Pendant près de sept heures, des dizaines de personnes sont passées devant le personnel d’Elécam dépêché pour la circonstance. Dans la joie et la ferveur, chacun a pu s’inscrire et démontrer que le message n’est pas tombé dans les oreilles des sourds. En guise de bilan, on peut estimer à environ une quarantaine de personnes non-voyantes, une dizaine de motrices et une bonne frange de personnes valides qui ont ainsi profité de la proximité de ce bureau de vote.  COCO  Bertin, le directeur général a dit sa joie et sa satisfaction d’avoir atteint les objectifs.  Ce n’est pas du tout facile par ce que vous savez bien que beaucoup d’autres structures font le même travail actuellement. Les appels des organisateurs des élections passent bien. Heureusement que l’expérience engrangée depuis quelques années nous a permis de minimiser les écueils. Nous avons choisi la formule de la caravane au départ pour toucher les éventuels électeurs dans leurs lieux de résidence ou d’activité. La caravane a ceci qu’elle est le symbole de la proximité. Ça fait aussi un spectacle de voir les non-voyantsappeler leurs concitoyens à s’inscrire sur les listes électorales. Le jour du rendez-vous, on a le résultat que vous voyez. Je voudrais simplement déplorer le fait qu’à ce jour (29 février), le personnel d’Elécam ne soit pas disponible  cent pour cent. Heureusement que l’appel des populations à l’endroit d’Elécam va rendre plus disponible les agents chargés d’inscrire les populations. Je suis globalement satisfait.

C’est sur cette note de satisfaction de Coco Mowa que notre séjour a pris fin, dans l’espoir que beaucoup de personnes handicapées des autres aires géographique vont se rendre auprès des agents d’Elécam.

(c)Dominique SO'H

 

            L’ANAC choisit le porte à porte

           

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L’Association nationale des Aveugles du Cameroun (ANAC)  a choisi une forme de campagne de proximité. Il s’est agi pour ses membres d’aller directement vers les personnes handicapées, leur expliquer le bien-fondé de l’inscription sur les listes électorales. Léopold ASSIENE 

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son directeeur exécutif a conduit plusieurs fois les non et malvoyants de sa circonscription de compétence dans les bureaux d’Elécam. A la question de savoir le pourquoi de cette approche, il répond avec assuranceIl fallait expérimenter une autre formule de campagne. Il n’y a pas de formule standard. L’a dernière fois, nous l’avons fait et ça avait produit de bons résultats. Nous avons bien vouluvoir une autre manière. C’est plus calme, sans bruit, mais aussi efficace, par ce que c’est nous qui nous arrimons au programme de nos membres. Nous les accompagnons, nous rassurons qu’ils n’ont aucune difficulté, qu’ils sont à l’aise. Vous savez, les personnes handicapées sont parfois réticentes à ce genre d’exercice. Quand elles sont moins nombreuses, les poches d’hésitation s’amenuisent et l’objectif s’atteint facilement.  Dames comme messieurs, les membres de l’ANAC ont parcouru beaucoup de kilomètres pour remplir une fois de plus ce devoir, dans l’espoir que le jour venu, chacun, en toute âme et conscience ira voter en toute liberté, le candidat de son choix.

© Dominique SO'H

 

14:34 Écrit par La voix des sans voix dans Associations, Droits / Disabled People's Rights | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

13/03/2013

ils ont dit....

 

 

 

 

 

 

 

Ils ont dit

IMG1044A.jpgTABAHDakisu (26 ans, étudiante- Bamenda) : « Je pratique l’athlétisme depuis seulement un mois, la compétition était belle. Je n’avais aucune idée de ce qui m’attendait quand je venais ici. J’ai pris la mesure du sport pour personnes handicapées physiques.  Je crois que je dois beaucoup travailler pour améliorer mes performances afin de rivaliser avec les autres. Rentrée à Bamenda, j’encouragerai les filles  à pratiquer le sport pour leur santé, et aussi pour les nombreuses opportunités qu’il peut offrir. Je remercie les organisateurs de ce meeting ».

IMG1037A.jpgSANDJO Patrick : (2è 100 & 200m Amputés, Centre) «  ce meeting est un grand signe d’encouragement pour nous les athlètes amputés qui nous croyions abandonnés par les instances sportives locales.  Ça m’a fait chaud au cœur de participer à ces courses. Je vais travailler d’avantage pour améliorer mes performances. Il nous faut beaucoup de compétitions de ce genre.  Il nous faut aussi aller dans les autres régions sensibiliser nos pairs amputés qui s’y trouvent et qui se  croient perdus dans la vie ,afin qu’ils rendent plus rude la concurrence et se faire un nom dans les  compétitions internationales.

IMG1039A.jpgAGUEDIA Jean : (vainqueur des concours, région du Littoral) « Je suis dans les lancers depuis 1991. J’ai fait les jeux africains où je me suis classé 19è. Au vu de mes performances actuelles, je suis 5è africain. Le champion du monde est un égyptien qui fait 48 m. c’est le suivi qui me manque pour entrer dans le top 3. Mes performances sont en dents de scie mais, Je sens mes forces et mes capacités.  Je peux faire mieux si je fais régulièrement des meetings.  Je suis très ravi pour ce que nous venons de faire. C’est une preuve que les choses veulent déjà prendre une certaine allure. Si nous faisons au moins 5 meetings par an, nous pourrons relever nos performances ».

 

IMG1062A.jpgAFOM  Rose Sandrine (1ère  dans les concours féminin et 2è dans les courses, sacrée par le site MboloCameroon ‘’Reine du meeting’’,SUD) « Malgré mes performances ça n’a pas été facile. Vous savez, je ne viens que débuter et je découvre encore la compétition. Pour le moment, je suis dans les concours, les courses et le tennis.  Nous avons longtemps attendu ce meeting, finalement il est arrivé par surprise.

Comme vous le dites pour nous avoir  vues au travail à Ebolowa, le fait  de travailler avec le matériel archaïque comme les piquets pour le javelot et les pierres à écraser au lancer est un gros handicap. C’est ici que nous avons découvert les engins et une piste d’athlétisme adéquats. Nous aimerions avoir ce matériel tous les jours. Nous ferons des miracles. J’interpelle toutes les filles handicapées à participer aux activités sportives. Ça aide pour la santé et on peut conquérir le monde en représentant le Cameroun. Ça m’a plu d’affronter mes sœurs de Bamenda. Il faudrait que celles de Douala, de Yaoundé et pourquoi pas celles des autres régions se joignent  à nous pour augmenter la densité de la concurrence et des émotions.

IMG1057A.jpgOben Philip : (Entraineur national d’athlétisme par intérim) : « Je suis entièrement satisfait des résultats  techniques  que nous venons d’enregistrer. C’est la preuve du travail abattu en amont depuis des mois dans les régions. Les athlètes, il faut le dire, n’ont pas eu beaucoup d’occasions de se mettre en valeur. Il faut le reconnaitre, s’ils ont des opportunités  de le faire régulièrement, je crois qu’on pourrait entrevoir l’avenir, non pas en rose, mais en vert (couleur de l’espoir,  NDLR). Si les pouvoirs publics pouvaient nous donner les moyens de mettre en application notre politique d’entrainements(détection des jeunes talents, formation et recyclage),  nous n’aurions pas d’inquiétude. Parlant des athlètes, il y en a qui ont marqué les esprits.  Mais je dois franchement les féliciter tous. Ceux du Sud et du Nord-ouest ont produit de belles performances.  Au littoral,  il y a  Bithé Aimé au Lancer de poids. Il m’a beaucoup marqué malgré les difficultés qu’il a connues. En résumé, je dois dire qu’il y a beaucoup d’espoirs dans l’athlétisme pour déficients physiques. Avec l’enthousiasme des athlètes et la volonté de Dieu,  nous aurons de bons résultats dans l’avenir. L’avenir est en vert ».

IMG1058A.jpgNDJIEI Modesta(15ans) (vainqueur 100 m  Dames, élève en 4è année Commerce) : «  Ma satisfaction est grande aujourd’hui. Je suis contente de l’encadrement sportif que je reçois au sein de la FASPED, qui m’a donné cette opportunité de venir à Yaoundé aujourd’hui. Je remercie aussi sa présidente, maman Hannah, le président de la fédération et tous ceux qui ont contribué au succès de cette compétition. Pour une première échéance de cette envergure, je ne m’attendais pas à réaliser une telle performance. J’avais une seule idée en tête quand je venais ici : donner le meilleur de moi et ne pas décevoir mes encadreurs. L’adversité rencontrée ici ce jour, est un stimulant pour les compétitions à venir. Je me battrai pour faire mieux qu’aujourd’hui. Mon rêve, c’est de remporter un jour une médaille pour le Cameroun ».

IMG1060A.jpgTCHINDA FOPA Etienne (Encadreur du Sud) :« Je suis satisfait de la participation de mes athlètes bien que ce soit la première pour eux. Je félicite l’organisation qui a été bonne. Mes athlètes ont pu compétirdans toutes les disciplines prévues. Je suis aussi satisfait par ce que les athlètes du Sud ont remporté deux titres et occupé une troisième place. Au début, je ne croyais pas. Il faut que le Seigneur aide la fédération à  continuer à promouvoir l’athlétisme au Cameroun. Les athlèteshandicapés doivent comprendre qu’ils sont des personnes normales et doivent bénéficier du même épanouissement que les autres. J’émets le vœu de voir des recyclages pour volontairesêtrepermanemment organisés comme on l’a vu dernièrement. Pourquoi pas tous les trois mois dans toutes les régions comme on le voit ailleurs. Je remercie le président de la fédération et tous sescollaborateursqui ,par ce meeting ont favorisé le brassage des athlètes et des dirigeants. Nous avons beaucoup échangé avec nos homologues  des autres régions. Malgré l’absence des autres régions, on peut dire que c’est déjà bien. On sait que les débuts sont toujours difficiles.

IMG1036A.jpgHervé NGOYO : (président de la fédération) :« Merci de nous aider à dire et  à montrer à la nation camerounaise ce que la fédération camerounaise des sports pour déficients physiques fait. Cette activité entre dans notre chronogramme normal de l’année. Ce meeting, nous l’avons voulu pour permettre à nos athlètes de saisir leur chance par rapport aux autres disciplines pratiquées dans notre association. Nous avons des difficultés à avoir du matériel roulant  pour la pratique des autres sports, alors, il nous faut voir de façon juste et économique. Nous avons eu les amputés du tronc supérieur faire le 100 et 200 m,tous les autres types de handicap pour les concours. Nous avons enregistré de très belles performances  et découvert de nouveaux talents venus du Sud, du Nord-Ouest et du Littoral.  Cela prouve que nous avions au niveau de la fédération raison d’étendre toutes les régions, nos activités.  Les personnes handicapées ne se retrouvent pas seulement dans la région du Centre. Toutes les ligues régionales qui se donneront à fond pour le développement des sports pour handicapés physiques nous nous ferons le devoir de les regrouper et de leur donner une chance de s’exprimer,de s’épanouir afin qu’on puisse détecter des talents susceptibles de nous remporter des lauriers en 2015 aux jeux africains de Brazzaville et en 2016 pour les jeux paralympiques de Rio au Brésil.

Nous demandons aux autorités en charge du sport de penser  à nous, car, ils n’ont pas mis au monde un nouveau-né pour le laisser seul sans vêtements  et sans autre moyen d’assistance. Qu’ils comprennent que les personnes vivant avec une déficience physique font partie de notre société, ont du potentiel et ont aussi envie  de participer au développement socio-économique de notre pays. Elles peuvent pratiquer le sport  et sont des personnes sportives. Nous savons  que nos autorités sont attentives et sauront donner le sourire à toute cette couche.

Propos recueillis par Didier ONANA©

 

Résultats du 1er meeting d’athlétisme pour Déficients Physiques du Cameroun.  02 mars 2013, Stade Ahmadou Ahidjo

©Didier ONANA 22114587/ 94 78 86 88

 

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Les déficients physiques à la vitesse sup

 

 

Les Déficients Physiques à la vitesse supérieure.

         IMG1000A.jpgLa fédération camerounaise des sports pour déficients physiques (FECASDEP),  a récemment ouvert sa saison sportive 2013. C’était au travers d’un meeting d’athlétisme tenu au stade Ahmadou Ahidjo de Yaoundé. Malgré l’absence du public et des membres du Comité National Paralympique, les résultats ont tenu la promesse des fleurs.

IMG1053A.jpgIls sont venus des régions du Littoral, du Sud, du Nord-Ouest et du Centre pour rivaliser d’adresse et de talent, ils y étaient de  tous les sexes, ils étaient pour la majorité à leur première expérience. Ils ont participé avec enthousiasme et détermination, ils ont démontré tout leur talent et leur volonté. Ils en sont sont rentrés heureux. Les personnes les plus satisfaites étaient naturellement, Hervé NGOYO, le président de la fédération et Oben Philip, l’entraineur national d’athlétisme par intérim (en attendant l’officialisation de sa nomination par le Ministre des Sports).

IMG1048A.jpg« Les  performances réalisées par ces athlètessont prometteurs.  Nous sommes bien partis pour les jeux africains de 2015 à Brazzaville et pour les jeux paralympiques de Rio de 2016 » a déclaré  Hervé NGOYO, … reste maintenant que l’on maintienne la cadence et que les pouvoirs publics nous soutiennent.

IMG1029A.jpgLes images fortes que nous garderons  de ce samedi 2 février 2013 où les intérêtsmatériels et financiers  étaient du côté du boulevard du 20 mai, c’est par exemple cette expression venue du Sud-Cameroun : « ça abeumbeu » : en français facile,’’ça’’ (mis pour le javelot) etbeumbeu mis pour planté au sol. En effet , les lanceurs de javelot du Sud qui découvraient pour la première fois en compétition cet engin,   voulaient le voir planté au sol à  la manière d’un piquet ou d’une flèche qu’on enfonce dans la chair d’un animal. C’est elle qui a galvanisé ces sportifs au point de les amener  à décrocher la première place chez les dames. En effet, cette expression vient rappeler les conditions difficiles de travail des athlètes handicapés moteurs au Cameroun. AEbolowa , ils s’entrainent avec les piquets coupés dans la foret pour le javelot, et la pierre à écraser les arachides ou  les graines de courge pour le lancer de poids . Nul doute que si ces enfants pleins de volonté et d’enthousiasmeutilisaient le matériel adéquat, les performances auraient été au-delà de celles que nous avons connues.  IMG1003A.jpgCeci s’illustre par les différents essais. Mauvais au premier, passables pour la suite. Vivement que les subventions tant attendues par le ministère de tutelle arrivent et que la fédération soit équipée en matériel de compétition pour toutes ses ligues régionales. En attendant les camarades de Sandrine Afom vont continuer de tailler les pierres dans les carrières du sud,et les piquets dans la foret. Pour vue ‘’ça beumbeu’’ davantage. Autre image marquante, la pancarte apportée par les sudistes qui se disaient certainement qu’à l’occasion, un défilé des délégations aurait lieu. Ils étaient tous vêtus des tee-shirts portant les inscriptions de leur ligue. Il en a été aussi pour ceux venus de la région du Nord-Ouest, habillés aux couleurs de la FASPED(Foundation for Adaptive Sports and PhysicalEducation for Disabled que dirige madame Hannah InjohNGOH.  Des images à faire pâlir de jalousie les frondeurs des autres régions qui pensent que les sport pour déficients physiques c’est uniquement à Yaoundé.

©Didier ONANA 22 11 45 87 / 94 78 86 88

Toujours Content n'est plus

 

 

Siméon Tcholéfack n’est plus.

         Siméon Tcholéfack, le non-voyant le plus célèbre de la capitale camerounaise s’est éteint le samedi 02 mars dernier dans un hôpital français, des suites de maladie.Une grosse perte pour notre pays et pour cause…

P1060235.JPGLes auditeurs des émissions radios interactives de la capitale camerounaise  s’étaient habitués depuis quelques années à la voix aigüe et au timbre vocal chaudd’un auditeur qui ne passait pas inaperçu. Le ton franc, direct, les propos parfois acerbes ajoutés à un peu d’humour, Siméon TcholéfackTezanoualias « Toujours  content, les yeux du cœur »à chacune de ses interventions plaisait  et disait tout haut ce que les autres non et mal voyants avaient peur de dire. Il s’était taillé une réputation d’homme libre et indépendant. Libre et indépendant, il l’était effectivement, il passait pour « le plus instruit des aveugles camerounais, avant que d’autres jeunes (qu’il avait contribué à former) ne viennent naturellement le doubler. Il était enseignant, propriétaire d’une bibliothèque en braille.

15:46 Écrit par La voix des sans voix | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Suzanne DYRBUS arrive

 

 

FECASDEP : On attend Suzanne…

         Madame Suzanne DYRBUS, Expert internationale en lawn -tennis sera bientôt au Cameroun. Cette grande dame du sport animera un atelier de formation des formateurs en tennis pour personnes handicapées physiques. C’est ce qui ressort de la réunion préparatoire qui a eu lieu au domicile du président de cette fédération, Hervé NGOYO qui s’est dit satisfait et serein quant au succès de cet évènement. 

          JÉANÉT    1.jpgDans le programme de Suzanne Dyrbus, outre le stage de formation, il y a des audiences avec les autorités sportives, politiques et diplomatiques et bien sûr, une rencontre avec la presse sportive. Les participants se recrutent parmi les professeurs de sport, les athlètes handicapés physiques, les étudiants de l’institut national de la Jeunesse et des Sports, pour un total estimé à environ 45 personnes. Madame DYRBUS logera à l’hôtel  Mérina dont la chambre a été déjà payée. Les différentes commissions constituées sont à pied d’œuvre. IMG1172A.jpg Cette visite est la première retombée du contrat signé entre la fédération camerounaise des sports pour déficients physiques et la fédération internationale de tennis. Pendant deux ans, cette instance faitière enverra tous les trois mois, un ou des experts au Cameroun recycler les pratiquants handicapés physiques et leurs encadreurs. Ce projet qui est financé par la Fondation Johann Cruijff  vise la vulgarisation de la pratique du Tennis dans notre pays par les personnes déficientes physiques. De bons points pur une association sportive, la seule à avoir envoyé un athlète aux jeux paralympiques de Londres en 2012. N’en déplaise aux petites  âmes et esprits malveillants qui peignent tout en noir.

        

 

                            Communiqué

         Tous les sportifs handicapés physiques âgés de 10 à 30 ans, désireux de pratiquer le tennis et  possédant un fauteuil roulant simple, sont informés qu’un stage international aura lieu du 22 au 25 mars 2013 à Yaoundé. Il sera dirigé par madame Suzanne Dyrbus Expert d’origine Britannique venu de la fédération internationale. À cet effet, les listes sont ouvertes au Centre National de Réhabilitation des Personnes Handicapées Cardinal Paul Emile Leger d’ Etoug-ébé. IMG0040A.jpg

Contact : 73 84 22 06 / 70 66 24 57 / 77 55 97 17

 

                        Communiqué

Tous les sportifs handicapés physiques du Cameroun pratiquant ou désireux de pratiquer le tennis de table et classés : 4,5,6,7,8,9 ou 10, sont informés le 13 avril  2013 se déroulera au Centre National de Réhabilitation des Personnes Handicapées Cardinal Paul Emile Leger d’ Etoug-ébé, la première journée du championnat national de tennis de table.

Conditions de participation : Contact : 73 84 22 06 / 70 66 24 57 / 77 55 97 17

                                               Le responsable de la Communication

                                               Etienne-Didier ONANA